Fiat Les voitures frétillent sous leurs autocollants brillamment made by Luc.
Ce concentré d’amitié se retrouve le 19 avril à 9 heures sur le parking de l’Intermarché à Pornic. Tous, non ! Évelyne et Robert sont déjà dans leurs montagnes et nous rejoindront en Suisse dans deux jours.
Nous allons passer de l’Ouest à l’Est en deux étapes de 350 km et 372 km. D’abord le Logis Hôtel la Mire à Méreau près de Vierzon (très bien), puis le Logis Hôtel Le Grill à Lons-le-Saunier (moins bien). Le parking de ce dernier hôtel étant ouvert à tous vents et tous malfrats, les voitures passent la nuit tout à côté dans Ma Jardinerie. Pas la mienne, mais celle d’une personne non genrée ! On lui a dit « merci Madame… »

VENDREDI 21 AVRIL 2023 – Neige et brouillard !
Météo : 5°, nuageux 🌥
Départ de Lons-le-Saunier à 9 heures, heure d’ouverture du magasin.
La Jaguar caracole en tête, la Fiat jaune bien visible joue le rôle de serre-file.
La pluie nous rattrape dans le Doubs peu avant midi, à 17 km de Mouthe, la commune dite la plus froide de France. En effet, ça caille !
À midi, nous nous arrêtons à la douane de Vallorbe pour acheter la fameuse vignette autoroutière suisse (43 euros) à un douanier charmant.
Un accident nous ralentit sur l’A1 avant Lausanne. Ça calme les autochtones fous du volant ! Puis l’A9 longe le lac Léman en direction de Simplon. Nous nous arrêtons à 13 heures dans une station-service pour pique-niquer au Q des voitures à une cinquantaine de km de Martigny où Évelyne et Robert nous attendent. La pluie a cessé. Café, pipi et la pluie reprend à 14 h 30 quand nous quittons l’aire, mais pour peu de temps.
À 15 h 15, le convoi retrouve son maillon manquant pour une demi-heure de retrouvailles émouvantes.
On repart au milieu des arbres fruitiers de la vallée du Rhône ; Sion, Sierre, Brigue défilent. Le col du Simplon à 2 007 m d’altitude dans les Alpes suisses est atteint à 17 h 30 : neige, brouillard, froid 🥶 (-0,6°).
Dans la descente, nous sommes arrêtés de nombreuses fois à cause des travaux, ça nous ralentit et nous passons en Italie une heure plus tard. La première ville traversée se nomme Iselle. On arrive sur les bords du romantique lac d’Orta à 19 h 15 sous un petit rayon de soleil. Prémices d’une vie douce après la rude traversée des Alpes…
Notre arrivée à 19 h 30 à l’agritourisme de Orta San Giulio, Il Cucchiaio di Legno, est tardive. L’établissement est fermé depuis une demi-heure et nous nous débrouillons seuls pour nous répartir dans des chambres spacieuses. Tout était prêt suite à notre coup de fil.
Nous reprenons rapidement les voitures pour aller au resto à 2,5 km de notre hôtel. La Taverna Antico Agnello est top ! Le cadre est idyllique et la nourriture est un festival pour les papilles.
Nous retournons à la ferme où les collations sont en libre-service. Une petite infusion dans la salle commune plutôt cosy et dodo à 23 h 30, épuisés que nous sommes après cette étape montagnarde de 383 km. Nous restons ici trois nuits. Nos chambres donnent toutes sur le jardin avec patio ou balcon pour la détente. Un pot du miel de l’hacienda est offert, le contenu du minibar est offert… What else ?

SAMEDI 22 AVRIL 2023 – Spritz alors !
Météo : 9°, nuageux 🌥, pas de pluie prévue.
Un petit déjeuner pantagruélique composé de produits locaux nous attend et nous le dégustons sur les grandes tables en bois.
À 9 h 30, nous laissons les autos au parking et partons à pied pour l’embarcadère de la petite commune d’Orta San Giulio. Un petit chemin nous descend jusqu’à la Villa Crespi, « Relais et Châteaux » au style mauresque. Faudra grimper au retour 🤔 ! Puis nous longeons, à gauche, le lac jusqu’à la Piazza Motta faisant face à la magnifique île de San Giulio ; à droite, une succession d’élégantes villas et de petits palais tous dotés de luxuriants jardins. Pour arriver au centre du village, les ruelles en galets font bien mal aux pieds finement chaussés. Bref ça nous fait 2,5 km en une demi-heure (pour les plus rapides) !
À 11 heures, on embarque pour la petite île de San Giulio dominée par une basilique romane, un palais épiscopal et une abbaye bénédictine. On est accueilli sur l’île par un petit escalier qui conduit à la basilique peinte où est enterré saint Jules. Le tour de l’île est vite bouclé en 10 mn à travers une ruelle, appelée « via del silenzio e della meditazione ».
À midi, le soleil apparaît timidement pour reprendre la vedette.
Au retour, on s’arrête sur la place pour, qui boire un coup au Piccolo Bar, qui déjeuner au Pic Nic, qui grignoter sur le pouce.
Sur le papier, le Mont Sacré d’Orta offre le plus beau panorama qui soit. Nous entamons la grimpette après la pause pour le vérifier. Il s’agit d’un site de dévotion érigé entre le XVIe et le XVIIe siècle. Le parcours serpente dans un parc au cœur de 20 chapelles richement décorées de fresques, de peintures et de statues grandeur nature, évoquant les épisodes de la vie de saint François d’Assise. C’est effectivement un lieu de pèlerinage XXL, on en prend plein les yeux dedans et dehors. La vue sur le lac et son île est également superbe.
De retour sur la place à 15 h 20, on se remet de nos émotions mystiques et physiques avec nos premières glaces 🍦. Puis nous buvons tous un pot sur la terrasse du Piccolo Bar en nous dorant la pilule, il fait chaud (19°).
Finalement, nous rentrons à l’hôtel pour nous reposer.
Le restaurant du soir jouxte le Piccolo Bar sur la place principale. La majorité d’entre nous s’y rendent à pied, les autres dans la BMW de Robert. Un parking est trouvé pas très loin du centre historique piétonnier. Les petites salles voûtées du Ristorante Ai Due Santi, les tables aux nappes blanches et les serveurs stylés nous accompagnent jusqu’au bout de la soirée.
Dodo à 22 h 30 🐓.

DIMANCHE 23 AVRIL 2023 – Une journée majeure !
Météo : 11°, nuageux 🌥, pluie escomptée à 17 heures.
La Triumph de Dominique et Ève ne démarre pas. Sans doute la pompe à essence à remplacer, on verra ça ce soir ou demain matin. Bla bla, bla bla car, le covoiturage s’impose.
Donc départ pour le lac Majeur : 8 h 30, arrivée à la station balnéaire de Stresa avec ses villas chics et ses hôtels de luxe Art Nouveau en bordure du lac : 9 heures, embarquement sous un soleil timide pour l’archipel des îles Borromées : 9 h 45.
On commence par la plus grande île, Isola Madre et son splendide jardin botanique à l’anglaise. La nature est luxuriante, ce ne sont qu’azalées, rhododendrons, camélias, magnolias, glycines (et j’en passe) en fleurs… Les oiseaux aux couleurs bigarrées vivent en liberté. Les faisans argentés se baladent. Les paons blancs font même leur show, en cabotins qu’ils sont. Sans oublier l’histoire du cyprès du Cachemire planté en 1862 sous forme de graines, abattu par une tornade en juin 2006 et miraculeusement sauvé. Il est tenu par d’imposantes ridelles !
À 11 h 30, nous débarquons sur l’île des Pêcheurs et ses petites échoppes le long de l’eau. L’île est dédiée aux emplettes de souvenirs et au déjeuner des touristes ; nous ne manquons pas à la tradition en nous installant à la Trattoria Imbarcadero, terrasse couverte et chauffée sur l’eau !
À 15 heures, l’Isola Bella nous invite à visiter le Palais Borromée datant du XVIIe siècle. Les pièces somptueuses regorgent de tableaux, des chefs-d’œuvre de toutes les origines, et de tapisseries. Les fraîches grottes rococo sont entièrement ornées de galets, de stucs... Étonnant !
On sort ensuite dans le magnifique jardin baroque en terrasses, couvert de plantes exotiques, avec un théâtre de style très rocaille en son milieu. Ici aussi, les paons blancs vivent en liberté.
Notre fringant capitaine 💔 nous ramène sur la terre de Stresa à 17 heures. Nous nous octroyons un peu de repos en prenant un pot sur le bord du lac. On se balade dans les ruelles en attendant l’heure du dîner, mais patatras, la pluie s’invite à 18 h 30. Christine, Isabelle, Jean-Noël et Jean-Pierre nous quittent pour jeûner. Quelques emplettes plus tard, nous entrons à l’Osteria degli Amici en plein centre-ville. Un bonne adresse car c’est bondé et les pizzas sont excellentes.
À 22 heures, tout le monde est au lit 🐓.

LUNDI 24 AVRIL 2023 – Casino royale
Météo : 11°, ensoleillé 😎
Les Triumph ont bobo là. Dominique répare. Un coup ça marche. Un coup ça marche pas. La pompe à essence fonctionne en court-circuitant le relais. Wouhou !
Le pare-brise de Luc est décoré d’une belle étoile, un peu de scotch va l’agrémenter 🤞.
Avec tout ça, on part à 10 heures pour le lac de Côme. Il y a beaucoup de circulation et tous les parkings du centre de Côme sont complets. Nous décidons de continuer vers Lenno où nous avons rendez-vous pour une visite guidée de la Villa del Balbianello à 15 h 15. Et ça continue, encore et encore, une circulation d’enfer sur la corniche de Côme à Lenno. Les parkings sont complets ici aussi. Nous arrivons juste à temps et il nous reste très peu de temps pour pique-niquer au camping qui, heureusement pour nous, peut garder nos voitures pour 10€… chacune !
Le fromage et le vin rouge d’Évelyne et Robert sont de sortie.
Nous partons à 14 h 30 rejoindre la villa qui se profile au bout de la péninsule lacustre et d’une grosse grimpette d’une demi-heure. Le cadre est enchanteur et romantique à souhait. Le jardin est magnifique, orné de buis taillés en candélabres et de cèdres sur lesquels veille un grand nombre de statues antiques. Nous voulons voir où ont été tournées les scènes romantiques de Star Wars et James Bond !
À 16 heures, nous rencontrons Camilla sur la Loggia. Elle est notre guide, mi en français, mi en anglais pour deux touristes rapportées.
Au commencement de l’histoire, un monastère franciscain occupe cette position du XIIIe au XVIe siècle.
La villa que nous visitons date du XVIIIe siècle. Elle a été construite sur cinq niveaux par le cardinal Durini qui en a fait sa demeure jusqu’à sa mort en 1797.
Après plusieurs propriétaires, elle est achetée en 1919 par Butler Ames, un général américain qui y fait d’importantes restaurations. Les héritiers du général la vendent en 1974 à Guido Monzino, comte-explorateur milanais connu pour ses expéditions au Pôle Nord en 1971 et la conquête de l’Everest en 1973. Richissime grâce à la chaîne de magasins héritée de son père, il fait des travaux de rénovations gigantesques et à sa mort d’une crise cardiaque en 1988, il lègue la villa à la Fondation pour l’Environnement Italien.
Sur la terrasse, un figuier grimpant de 120 ans enlace les colonnes, il reste toujours vert. À droite, la salle du Cartographe de style naval anglais remplie de souvenirs des expéditions. À gauche, la bibliothèque et ses 4 000 livres sur les explorations. Cette pièce comporte un passage secret qui communique avec une autre pièce de la villa. Il servait à protéger les occupants des attaques des Brigades rouges.
Nous pénétrons dans le second bâtiment. D’abord, le bureau d’un très gros fumeur aux murs tendus de soie du lac de Côme. Par la fenêtre, le chêne-vert de 200 ans est taillé en parasol (en 10 jours). Guido l’a voulu ainsi pour qu’il ne lui cache pas la vue sur les montagnes. Ensuite, la collection privée dont la plus vieille pièce date de 5 000 ans avant J.-C. Au 1er étage, le musée des Explorateurs. Au 4e étage, les appartements privés : la chambre de style français du XVIIIe siècle, la garde-robe où débouche le tunnel secret et la salle de bain en marbre de Carrare avec sauna. Au 3e étage, la chambre d’amis et sa collection de peintures sur verre, une des plus grandes collections d’Europe. Au 2e étage, le fumoir aux murs en pin qui a la faculté d’absorber l’odeur de tabac. Les boiseries ont été achetées aux enchères dans un château de la Loire. Trop hautes, Guido a donc fait dynamiter le rocher pour qu’elles rentrent pile-poil.
Et puis, le salon et sa collection chinoise, la salle à manger avec des tapisseries en soie de Beauvais, la salle du petit déjeuner dans la chapelle (l’horloge qui date de 1883 sonne tous les quarts d’heure), les appartements de la maman et ses peintures sur verre à la feuille d’or. Voilà comment on parcoure 1 200 m2. L’intérieur de la villa est bien plus grand qu’il n’y paraît depuis l’extérieur car plusieurs pièces sont creusées à même la roche.
À 17 heures, nous reprenons la route jusqu’au Grand Hotel Cadenabbia à Griante. Nous y sommes presque, seulement 4 km à faire.
Le grand hall décoré de stucs, de miroirs, de fresques et de colonnes majestueuses, a certainement été le témoin de maintes belles histoires. Pour l’heure, nos chambres disposent de balcons d'où nous pouvons admirer le lac. Tant mieux, nous nous installons pour deux nuits. La piscine nous tend son eau bleue et certains se laissent tenter.
À 200 m de là, la terrasse du Ristorante Rodriguo nous attend pour une soirée décontractée face au lac.

MARDI 25 AVRIL 2023 – Come on !
Météo : 11°, ensoleillé 😎
Nous prenons nos petits déjeuners au 5e étage dans la grande salle avec une vue incroyable sur le lac. À pleurer de bonheur ! C’est le jour de la libération de l’Italie, jour férié. Il ne faut pas s’étonner qu’il y ait beaucoup de monde. Nous consacrons cette journée à faire le tour du lac en navette que nous prenons à la Villa Carlotta juste à côté de l’hôtel à 9 h 56 précises.
Premier arrêt, premier arrêt : Bellagio, la perle du lac, et ses boutiques de luxe… Le lac a la forme d'un Y renversé, avec trois fines branches qui se rejoignent à Bellagio. Depuis l’eau, les splendides demeures nous donnent déjà envie de parcourir les ruelles à la recherche de trésors. On s’attend à tout moment à croiser une Vespa, icône italienne s’il en est 🛵. Il fait suffisamment beau et chaud (17°) pour profiter de la balade. Quartier libre jusqu’à 12 h 40.
Deuxième arrêt : Varenna. Certains déjeunent. Certains poussent jusqu’au château de Vezio sur les hauteurs. Certains baguenaudent… À peine posé le pied à terre, on a déjà envie de faire plein de photos depuis la balade le long du lac qui offre des vues magiques sur les montagnes environnantes et les nuages bien accrochés aux cimes. Arrive l’heure d’embarquer pour retourner à Griante. Il est 16 h 30. Il est trop tard pour visiter la Villa Carlotta et son jardin botanique, on reviendra…
Nous rentrons tranquillement à l’hôtel. On dîne chez Rodriguo comme hier, et on boit allegretto ma non troppo du Spritz Campari quand l’Apérol est trop doux.

MERCREDI 26 AVRIL 2023 – Fiat lux !
Météo : 10°, ensoleillé 😎
Départ à 9 heures pour Turin, 170 km.
Adieu paysages paradisiaques, villas aux jardins luxuriants, eaux bleu saphir…
Nadine oublie sa doudoune verte, demi-tour sur la corniche avant Côme ; ils nous rattrapent à Turin.
Ce n’est que de l’autoroute pour sortir de Côme, mais nos chemins divergent. Heureusement, on se rassemble sur l’aire de Novara nooord !
Nous arrivons plutôt tôt à 13 heures à l’hôtel DoubleTree by Hilton. Autrefois usine Fiat Lingotto, le bâtiment des années 1920 a été rénové et transformé en un centre commercial et un hôtel design avec un spacieux hall central, baigné de lumière naturelle qui pénètre par sa verrière.
Les chambres sont prêtes.
L’après-midi nous sépare. Le musée de l’Automobile est incontournable à Turin. Fondé en 1932, il est un des musées les plus célèbres du monde. Une collection de voitures unique au monde, sublimée par une mise en scène pittoresque, entraîne 12 d’entre nous dans un intrigant voyage à travers l'histoire.
La découverte de la ville et le shopping occupent tout un autre petit monde.
Une tout autre quête est celle du Suaire (copie dans une vitrine de la cathédrale) : mystique vérité ou authentique escroquerie ?
Le temps est clément : 21° à 17 heures.
Nous dînons à l’Osteria del Fate In Fretta A Tavola (FIAT), petit bouchon turinois. Avec ses nappes à carreaux et ses meubles surannés, cette adresse est à deux pas du Lingotto. Le lieu est idéal pour un dîner sans fioritures et sans amabilité. Pas très avenante la serveuse !
Nous rentrons tranquillement par le centre commercial. La rampe hélicoïdale intérieure de l’ancienne usine Fiat couvre une piste improvisée d’engins télécommandés bien vivante. Sur le toit du bâtiment, on pressent l’originale piste d’essai.

JEUDI 27 AVRIL 2023 – Ciao !
Météo : 10°, nuages prédominants 🌥️, 280 km.
Turin s’éloigne et nous foulons le sol français à midi. Adieu Clavière. Bonjour Montgenévre dans les Hautes-Alpes. Briançon, Serre Chevalier Vallée , la route des Grandes Alpes, le parc des Écrins défilent. Par chance, le col du Lautaret (2 058 m d’altitude) est ouvert. Nous nous y arrêtons à 12 h 45 sous 9° au thermomètre pour pique-niquer face au décor grandiose. 
Christophe et Marie-Christine nous ont quittés ce matin. Isabelle et Jean-Pierre nous abandonnent sur le tarmac pour d’autres horizons. Éric et Nadine s’éclipsent pour une nuit dans leur famille.
À Grenoble, les cinq voitures stoppent. Mets de l’huile Jean-Noël ! Il fait lourd : 21°.
À Lyon, un accident nous déroute. On prend l’autoroute jusqu’au bout pour ne pas arriver trop tard à l’hôtel Le Noemys Morgon à Villié-Morgon au cœur du Beaujolais.
Il est 19 h 15. De la chambre à la table, il n’y a qu’un pas… vers la gourmandise !

VENDREDI 28 AVRIL 2023 – Bon anniversaire, Véro !
Météo : 12°, nuages prédominants 🌥️
La TVR a des incontinences. Un mélange d’huile et d’essence jonche le sol du parking de l’hôtel. Christine et Jean-Noël restent sur place et font appel à leur assurance CEREDE qui sera très réactive (un coup d’essai réussi !). Quant à Évelyne et Robert, ils partent en solitaires directement à Pornic pour obligations familiales. Six au jus ! Nous partons à 9 h 30 pour faire 260 km jusqu’au Campanile Guéret.
À 11 h 30, Éric et Nadine nous retrouvent à Ambierle, village de caractère en Loire, établi sur un promontoire, aux toitures aux tuiles vernissées, non loin de Roanne. Le cantonnier nous indique un lieu de pique-nique et emmène Dominique dans son camion pour le valider.
Dans l’après-midi, nous faisons une promenade à pied à Saint-Pourçain-sur-Sioule dans l’Allier.
Le soir, on fête les 3 X 20 printemps de Véro 🍹🎂🎁.
Christine et Jean-Noël nous ont rejoints dans leur voiture de location. La TVR sera rapatriée à Pornic plus tard pour être dépannée.

SAMEDI 29 AVRIL 2023
Météo : 13 degrés, nuageux 🌥, plus que 373 km à faire… chacun à son rythme.

Catherine Mans
Avril 2023

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